Horloge atomique
+5
alrickdrinkson
cactus
lord
Envalion
joy division
9 participants
Dark501 :: Flood :: Bar Intergalactique
Page 30 sur 40
Page 30 sur 40 • 1 ... 16 ... 29, 30, 31 ... 35 ... 40
Re: Horloge atomique
10H29
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Horloge atomique
8M de deut a vendre...
20h11
20h11
Envalion- Nombre de messages : 715
Age : 30
Localisation : Serris
Date d'inscription : 08/05/2012
Re: Horloge atomique
21h05
Demande a lord
Demande a lord
cactus- Admin
- Nombre de messages : 10594
Age : 33
Date d'inscription : 13/09/2008
Re: Horloge atomique
10h49
cactus- Admin
- Nombre de messages : 10594
Age : 33
Date d'inscription : 13/09/2008
Re: Horloge atomique
Oui, j'en cherche. Je te contact IG.
Commentaire du jour -_-'
Rapport lu par le comte de Clermont-Tonnerre devant l'Assemblée nationale (juillet 1789), extraits
Messieurs, vous êtes appelés à régénérer l'empire français ; vous apportez à ce grand oeuvre et votre propre sagesse, et la sagesse de vos commettants.
Nous avons cru devoir d'abord rassembler et vous présenter les lumières éparses dans le plus grand nombre de vos cahiers. Nous vous présenterons ensuite, et les vues particulières de votre comité, et celles qu'il a pu ou pourra recueillir encore dans les divers plans, dans les diverses observations qui lui ont été ou qui lui seront communiquées ou remises par les membres de cette auguste assemblée.
C'est de la première partie de ce travail, Messieurs, que nous allons vous rendre compte.
Nos commettants, Messieurs, sont tous d'accord sur un point : ils veulent la régénération de l'Etat ; mais les uns l'ont attendue de la simple réforme des abus et du rétablissement d'une constitution existante depuis 14 siècles, et qui leur a paru pouvoir revivre encore, si l'on réparait les outrages que lui ont faits le temps et les nombreuses insurrections de l'intérêt personnel contre l'intérêt public.
D'autres ont regardé le régime social existant comme tellement vicieux, qu'ils ont demandé une constitution nouvelle, et qu'à l'exception du gouvernement et des formes monarchiques, qu'il est dans le cœur de tout Français de chérir et de respecter, et qu'ils vous ont ordonné de maintenir, ils vous ont donné tous les pouvoirs nécessaires pour créer une constitution, et asseoir sur des principes certains et sur la distinction et constitution régulière de tous les pouvoirs, la prospérité de l'empire français.
Ceux-là, Messieurs, ont cru que le premier chapitre de la constitution devait contenir
la déclaration des droits de l'homme, de ces droits imprescriptibles, pour le maintien
desquels la société fut établie.
La demande de cette déclaration des droits de l'homme, si constamment méconnus, est, pour ainsi dire, la seule différence qui existe entre les cahiers qui désirent une constitution nouvelle, et ceux qui ne demandent que le rétablissement de ce qu'ils regardent comme la constitution existante.
Les uns et les autres ont également fixé leurs idées sur les principes du gouvernement monarchique, sur l'existence du pouvoir et sur l'organisation du corps-législatif, sur la nécessité du consentement national à l'impôt, sur l'organisation des corps administratifs, et sur les droits des citoyens.
Nous allons, Messieurs, parcourir ces divers objets, et vous offrir sur chacun d'eux, comme décisions, les résultats uniformes et comme questions à examiner, les résultats différents ou contradictoires que nous ont présentés ceux de vos cahiers dont il nous a été possible de faire ou de nous procurer le dépouillement.
1° Le gouvernement monarchique, l'inviolabilité de la personne sacrée du roi, et l'hérédité de la couronne de mâle en mâle, sont également reconnus et consacrés par le plus grand nombre des cahiers, et ne sont mis en question dans aucun.
2° Le roi est également reconnu comme dépositaire de toute la plénitude du pouvoir exécutif. …
Quant au pouvoir législatif, la pluralité des cahiers le reconnaît comme résidant dans la représentation nationale, sous la clause de la sanction royale ; et il paraît que cette maxime ancienne des capitulaires, lex fit consensus populi et constitutione regis, est presque généralement consacré par vos commettants.
Quant à l'organisation de la représentation nationale, les questions sur lesquelles vous avez à prononcer, se rapportent à la convocation, ou à la durée, ou à la composition de la représentation nationale, ou au mode de délibération que lui proposaient vos commettants.
Quant à la convocation, les uns ont déclaré que les Etats Généraux ne pouvaient être dissous que par eux-mêmes ; les autres, que le droit de convoquer, proroger et dissoudre, appartenait au roi, sous la seule condition, en cas de dissolution, de faire sur-le-champ une nouvelle convocation.
Quant à la durée, les uns ont demandé la périodicité des Etats Généraux, et ils ont voulu que le retour périodique ne dépendît ni des volontés, ni de l'intérêt des dépositaires de l'autorité ; d'autres, mais en plus petit nombre, ont demandé la permanence des Etats Généraux, de manière que la séparation des membres n'entraînât pas la dissolution des Etats.
Le système de la périodicité a fait naître une seconde question : Y aura-t-il ou n'y aura-t-il pas de commission intermédiaire pendant l'intervalle des séances ? La majorité de vos commettants a regardé l'établissement d'une commission intermédiaire comme un établissement dangereux.
Quant à la composition, les uns ont tenu à la séparation des trois ordres ; mais à cet égard, l'extension des pouvoirs qu'ont déjà obtenue plusieurs représentants, laisse sans doute une plus grande latitude pour la solution de cette question.
Quelques bailliages ont demandé la réunion des deux premiers ordres dans une même chambre ; d'autres, la suppression du clergé et la division de ses membres dans les deux autres ordres ; d'autres, que la représentation de la noblesse fut double de celle du clergé, et que toutes deux réunies fussent égales à celle des communes.
… Enfin, les droits des citoyens, la liberté, la propriété, sont réclamés avec force par toute la nation française. Elle réclame pour chacun de ses membres l'inviolabilité des propriétés particulières, comme elle réclame pour elle-même l'inviolabilité de la propriété publique ; elle réclame dans toute son étendue la liberté individuelle, comme elle vient d'établir à jamais la liberté nationale ; elle réclame la liberté de la presse, ou la libre communication des pensées ; elle s'élève avec indignation contre les lettres de cachet, qui disposaient arbitrairement des personnes, et contre la violation du secret de la poste, l'une des plus absurdes et des plus infâmes inventions du despotisme.
… La nation a voulu être libre ; et c'est vous qu'elle a chargé de son affranchissement : le génie de la France a précipité, pour ainsi dire, la marche de l'esprit public ; il a accumulé pour vous, en peu d'heures, l'expérience que l'on pouvait à peine attendre de plusieurs siècles. Vous pouvez, Messieurs, donner une constitution à la France ; le roi et le peuple la demandent ; l'un et l'autre l'ont méritée.…
14H09.
Commentaire du jour -_-'
Rapport lu par le comte de Clermont-Tonnerre devant l'Assemblée nationale (juillet 1789), extraits
Messieurs, vous êtes appelés à régénérer l'empire français ; vous apportez à ce grand oeuvre et votre propre sagesse, et la sagesse de vos commettants.
Nous avons cru devoir d'abord rassembler et vous présenter les lumières éparses dans le plus grand nombre de vos cahiers. Nous vous présenterons ensuite, et les vues particulières de votre comité, et celles qu'il a pu ou pourra recueillir encore dans les divers plans, dans les diverses observations qui lui ont été ou qui lui seront communiquées ou remises par les membres de cette auguste assemblée.
C'est de la première partie de ce travail, Messieurs, que nous allons vous rendre compte.
Nos commettants, Messieurs, sont tous d'accord sur un point : ils veulent la régénération de l'Etat ; mais les uns l'ont attendue de la simple réforme des abus et du rétablissement d'une constitution existante depuis 14 siècles, et qui leur a paru pouvoir revivre encore, si l'on réparait les outrages que lui ont faits le temps et les nombreuses insurrections de l'intérêt personnel contre l'intérêt public.
D'autres ont regardé le régime social existant comme tellement vicieux, qu'ils ont demandé une constitution nouvelle, et qu'à l'exception du gouvernement et des formes monarchiques, qu'il est dans le cœur de tout Français de chérir et de respecter, et qu'ils vous ont ordonné de maintenir, ils vous ont donné tous les pouvoirs nécessaires pour créer une constitution, et asseoir sur des principes certains et sur la distinction et constitution régulière de tous les pouvoirs, la prospérité de l'empire français.
Ceux-là, Messieurs, ont cru que le premier chapitre de la constitution devait contenir
la déclaration des droits de l'homme, de ces droits imprescriptibles, pour le maintien
desquels la société fut établie.
La demande de cette déclaration des droits de l'homme, si constamment méconnus, est, pour ainsi dire, la seule différence qui existe entre les cahiers qui désirent une constitution nouvelle, et ceux qui ne demandent que le rétablissement de ce qu'ils regardent comme la constitution existante.
Les uns et les autres ont également fixé leurs idées sur les principes du gouvernement monarchique, sur l'existence du pouvoir et sur l'organisation du corps-législatif, sur la nécessité du consentement national à l'impôt, sur l'organisation des corps administratifs, et sur les droits des citoyens.
Nous allons, Messieurs, parcourir ces divers objets, et vous offrir sur chacun d'eux, comme décisions, les résultats uniformes et comme questions à examiner, les résultats différents ou contradictoires que nous ont présentés ceux de vos cahiers dont il nous a été possible de faire ou de nous procurer le dépouillement.
1° Le gouvernement monarchique, l'inviolabilité de la personne sacrée du roi, et l'hérédité de la couronne de mâle en mâle, sont également reconnus et consacrés par le plus grand nombre des cahiers, et ne sont mis en question dans aucun.
2° Le roi est également reconnu comme dépositaire de toute la plénitude du pouvoir exécutif. …
Quant au pouvoir législatif, la pluralité des cahiers le reconnaît comme résidant dans la représentation nationale, sous la clause de la sanction royale ; et il paraît que cette maxime ancienne des capitulaires, lex fit consensus populi et constitutione regis, est presque généralement consacré par vos commettants.
Quant à l'organisation de la représentation nationale, les questions sur lesquelles vous avez à prononcer, se rapportent à la convocation, ou à la durée, ou à la composition de la représentation nationale, ou au mode de délibération que lui proposaient vos commettants.
Quant à la convocation, les uns ont déclaré que les Etats Généraux ne pouvaient être dissous que par eux-mêmes ; les autres, que le droit de convoquer, proroger et dissoudre, appartenait au roi, sous la seule condition, en cas de dissolution, de faire sur-le-champ une nouvelle convocation.
Quant à la durée, les uns ont demandé la périodicité des Etats Généraux, et ils ont voulu que le retour périodique ne dépendît ni des volontés, ni de l'intérêt des dépositaires de l'autorité ; d'autres, mais en plus petit nombre, ont demandé la permanence des Etats Généraux, de manière que la séparation des membres n'entraînât pas la dissolution des Etats.
Le système de la périodicité a fait naître une seconde question : Y aura-t-il ou n'y aura-t-il pas de commission intermédiaire pendant l'intervalle des séances ? La majorité de vos commettants a regardé l'établissement d'une commission intermédiaire comme un établissement dangereux.
Quant à la composition, les uns ont tenu à la séparation des trois ordres ; mais à cet égard, l'extension des pouvoirs qu'ont déjà obtenue plusieurs représentants, laisse sans doute une plus grande latitude pour la solution de cette question.
Quelques bailliages ont demandé la réunion des deux premiers ordres dans une même chambre ; d'autres, la suppression du clergé et la division de ses membres dans les deux autres ordres ; d'autres, que la représentation de la noblesse fut double de celle du clergé, et que toutes deux réunies fussent égales à celle des communes.
… Enfin, les droits des citoyens, la liberté, la propriété, sont réclamés avec force par toute la nation française. Elle réclame pour chacun de ses membres l'inviolabilité des propriétés particulières, comme elle réclame pour elle-même l'inviolabilité de la propriété publique ; elle réclame dans toute son étendue la liberté individuelle, comme elle vient d'établir à jamais la liberté nationale ; elle réclame la liberté de la presse, ou la libre communication des pensées ; elle s'élève avec indignation contre les lettres de cachet, qui disposaient arbitrairement des personnes, et contre la violation du secret de la poste, l'une des plus absurdes et des plus infâmes inventions du despotisme.
… La nation a voulu être libre ; et c'est vous qu'elle a chargé de son affranchissement : le génie de la France a précipité, pour ainsi dire, la marche de l'esprit public ; il a accumulé pour vous, en peu d'heures, l'expérience que l'on pouvait à peine attendre de plusieurs siècles. Vous pouvez, Messieurs, donner une constitution à la France ; le roi et le peuple la demandent ; l'un et l'autre l'ont méritée.…
14H09.
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Horloge atomique
je savais bien qu'il en cherchait j'avais vu ^^
17h16
17h16
Envalion- Nombre de messages : 715
Age : 30
Localisation : Serris
Date d'inscription : 08/05/2012
Re: Horloge atomique
C'était bien ou bien ?
10H26.
10H26.
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Horloge atomique
12h50 Dommage
cactus- Admin
- Nombre de messages : 10594
Age : 33
Date d'inscription : 13/09/2008
Re: Horloge atomique
13H00
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Horloge atomique
21h56
présentation de mon sujet de recherches auprès de l'équipe du labo où je fais mon stage : CHECK
projet de participation au congrès de paléontologie à toulouse du 10 au 13 avril : LOADING...
présentation de mon sujet de recherches auprès de l'équipe du labo où je fais mon stage : CHECK
projet de participation au congrès de paléontologie à toulouse du 10 au 13 avril : LOADING...
Re: Horloge atomique
00h50
tu veux donc être paléontologue... mhm c'est vieux ça... âge du fer tu connais? genre population indigène autour de massalia vers le 5-4° s c'est pas assez vieux à ton goût?
tu veux donc être paléontologue... mhm c'est vieux ça... âge du fer tu connais? genre population indigène autour de massalia vers le 5-4° s c'est pas assez vieux à ton goût?
Re: Horloge atomique
non pas trop vu que je ne veux pas être archéologue. je préfère quand ça compte en millions d'années ^^
10h34
10h34
Re: Horloge atomique
11h18 moi le present me va
cactus- Admin
- Nombre de messages : 10594
Age : 33
Date d'inscription : 13/09/2008
Re: Horloge atomique
Et en plus il trouve le temps d'avoir une copine.
Je préfère le futur.
15H24.
Je préfère le futur.
15H24.
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Horloge atomique
17h26
Pas faux
Pas faux
cactus- Admin
- Nombre de messages : 10594
Age : 33
Date d'inscription : 13/09/2008
Re: Horloge atomique
ou sont nos pin up quotidiennes? ^^
18h19
18h19
Envalion- Nombre de messages : 715
Age : 30
Localisation : Serris
Date d'inscription : 08/05/2012
Re: Horloge atomique
Homicide: un policier en garde à vue après la mort d'un jeune à Marseille
Un gardien de la paix, "en état alcoolisé" lors de son interpellation, a été placé en garde à vue jeudi matin à Marseille après la mort d'un jeune homme au cours de la nuit, à la suite d'une altercation dont les circonstances sont encore floues.
"Dans des circonstances qu'il conviendra d'éclaircir, le policier a utilisé à une reprise son arme de service et blessé à la cuisse" un jeune homme de 19 ans, a expliqué le directeur départemental de la Sécurité publique (DDSP), Pierre-Marie Bourniquel, lors d'une conférence de presse.
A ses côtés, Jean-Paul Bonnetain, le préfet de police des Bouches-du-Rhône, a précisé que le policier était "en état alcoolisé" lors de son interpellation, soit environ 2 heures après les faits.
Né en 1973, l'homme travaille au sein du groupe de sécurité de proximité (GSP).
Bien que n'étant pas en service, le fonctionnaire portait son arme sur lui, ce qui n'est pas autorisé, lorsqu'il s'est rendu vers minuit dans une épicerie du quartier de la Joliette (2e arrondissement) pour acheter quelques bières, selon une source proche du dossier.
Alors qu'il se trouvait dans le magasin, trois jeunes, dont un fumait de la résine de cannabis, sont arrivés. Le policier a fait une réflexion qui a dégénéré en rixe.
Frappé par les trois jeunes qui, selon lui, auraient remarqué son pantalon de policier, l'homme a alors sorti son arme. "Dans des circonstances qu'il conviendra d'éclaircir", explique la police dans un communiqué, un coup serait parti, touchant l'un des jeunes, âgé de 19 ans, à la cuisse.
Des marques sur le visage du policier attestent la thèse de l'altercation, a ajouté M. Bonnetain lors de la conférence de presse.
Emmené immédiatement à l'hôpital en voiture par ses amis présents sur les lieux, le jeune homme, atteint à l'artère fémorale, est mort quelques heures plus tard.
Le policier serait quant à lui rentré à son domicile avec les bières qu'il était venu acheter, sans s'être rendu compte qu'une balle avait touché quelqu'un, selon la source proche du dossier.
Alertés par un coup de téléphone de l'hôpital et un autre leur annonçant l'incident, les policiers se sont rendus à l'épicerie. Ils ont rapidement réussi à retrouver l'identité du policier impliqué.
Selon une source proche de l'enquête, c'est l'épicier qui a donné à la police les coordonnées du fonctionnaire.
Aux environs de 2h40, le commissaire de permanence a interpellé le policier à son domicile, sans que ce dernier ne présente aucune résistance, a précisé M. Bourniquel.
Plus tard, à l'annonce du décès, un ami de la victime a quitté l'hôpital, pris sa voiture, puis est retourné à l'épicerie dans laquelle il a encastré sa berline allemande. Âgé de 19 ans, il a lui aussi été placé en garde à vue.
Jeudi matin, le volet métallique de la supérette, située rue Roger-Salengro, était abaissé et les alentours étaient bouclés par la police, a constaté un photographe de l'AFP.
Des enquêteurs de la police scientifique et technique effectuaient des prélèvements sur des tâches de sang retrouvées au sol.
L'arme du policier a été saisie pour être transmise à la balistique.
Deux enquêtes ont été ouvertes, l'une confiée à la PJ par le parquet de Marseille, le volet administratif ayant quant à lui été transmis à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Le jeune homme décédé était "défavorablement connu des services de police", a ajouté M. Bourniquel.
Selon une source proche de l'enquête, la victime, Yassine Aibeche, originaire de la cité sensible Félix-Pyat (3e arrondissement), avait été condamné notamment pour des vols et des infractions à la législation sur les stupéfiants.
Les GSP, rattachés à des commissariats, sont des unités d'appui de la police nationale, qui ont pour objectif de lutter contre la délinquance de proximité.
Ils sont implantés dans les grandes villes comme Lyon, Marseille et en banlieue parisienne (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne).
Con que sa carrière soit fichue pour une racaille.
18H35.
Un gardien de la paix, "en état alcoolisé" lors de son interpellation, a été placé en garde à vue jeudi matin à Marseille après la mort d'un jeune homme au cours de la nuit, à la suite d'une altercation dont les circonstances sont encore floues.
"Dans des circonstances qu'il conviendra d'éclaircir, le policier a utilisé à une reprise son arme de service et blessé à la cuisse" un jeune homme de 19 ans, a expliqué le directeur départemental de la Sécurité publique (DDSP), Pierre-Marie Bourniquel, lors d'une conférence de presse.
A ses côtés, Jean-Paul Bonnetain, le préfet de police des Bouches-du-Rhône, a précisé que le policier était "en état alcoolisé" lors de son interpellation, soit environ 2 heures après les faits.
Né en 1973, l'homme travaille au sein du groupe de sécurité de proximité (GSP).
Bien que n'étant pas en service, le fonctionnaire portait son arme sur lui, ce qui n'est pas autorisé, lorsqu'il s'est rendu vers minuit dans une épicerie du quartier de la Joliette (2e arrondissement) pour acheter quelques bières, selon une source proche du dossier.
Alors qu'il se trouvait dans le magasin, trois jeunes, dont un fumait de la résine de cannabis, sont arrivés. Le policier a fait une réflexion qui a dégénéré en rixe.
Frappé par les trois jeunes qui, selon lui, auraient remarqué son pantalon de policier, l'homme a alors sorti son arme. "Dans des circonstances qu'il conviendra d'éclaircir", explique la police dans un communiqué, un coup serait parti, touchant l'un des jeunes, âgé de 19 ans, à la cuisse.
Des marques sur le visage du policier attestent la thèse de l'altercation, a ajouté M. Bonnetain lors de la conférence de presse.
Emmené immédiatement à l'hôpital en voiture par ses amis présents sur les lieux, le jeune homme, atteint à l'artère fémorale, est mort quelques heures plus tard.
Le policier serait quant à lui rentré à son domicile avec les bières qu'il était venu acheter, sans s'être rendu compte qu'une balle avait touché quelqu'un, selon la source proche du dossier.
Alertés par un coup de téléphone de l'hôpital et un autre leur annonçant l'incident, les policiers se sont rendus à l'épicerie. Ils ont rapidement réussi à retrouver l'identité du policier impliqué.
Selon une source proche de l'enquête, c'est l'épicier qui a donné à la police les coordonnées du fonctionnaire.
Aux environs de 2h40, le commissaire de permanence a interpellé le policier à son domicile, sans que ce dernier ne présente aucune résistance, a précisé M. Bourniquel.
Plus tard, à l'annonce du décès, un ami de la victime a quitté l'hôpital, pris sa voiture, puis est retourné à l'épicerie dans laquelle il a encastré sa berline allemande. Âgé de 19 ans, il a lui aussi été placé en garde à vue.
Jeudi matin, le volet métallique de la supérette, située rue Roger-Salengro, était abaissé et les alentours étaient bouclés par la police, a constaté un photographe de l'AFP.
Des enquêteurs de la police scientifique et technique effectuaient des prélèvements sur des tâches de sang retrouvées au sol.
L'arme du policier a été saisie pour être transmise à la balistique.
Deux enquêtes ont été ouvertes, l'une confiée à la PJ par le parquet de Marseille, le volet administratif ayant quant à lui été transmis à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Le jeune homme décédé était "défavorablement connu des services de police", a ajouté M. Bourniquel.
Selon une source proche de l'enquête, la victime, Yassine Aibeche, originaire de la cité sensible Félix-Pyat (3e arrondissement), avait été condamné notamment pour des vols et des infractions à la législation sur les stupéfiants.
Les GSP, rattachés à des commissariats, sont des unités d'appui de la police nationale, qui ont pour objectif de lutter contre la délinquance de proximité.
Ils sont implantés dans les grandes villes comme Lyon, Marseille et en banlieue parisienne (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne).
Con que sa carrière soit fichue pour une racaille.
18H35.
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: Horloge atomique
c'est dans ces moment là qu'on se dit qu'une bonne matraque electrique aurait sauvé 2 vie...
20h09
20h09
Re: Horloge atomique
22h18
Possible
Possible
cactus- Admin
- Nombre de messages : 10594
Age : 33
Date d'inscription : 13/09/2008
Re: Horloge atomique
Une matraque télescopique tout court. Vue qu'une électrique est interdite, y compris pour les policiers...
09H19
09H19
lord- Modérateur
- Nombre de messages : 6529
Age : 113
Date d'inscription : 24/06/2008
Page 30 sur 40 • 1 ... 16 ... 29, 30, 31 ... 35 ... 40
Dark501 :: Flood :: Bar Intergalactique
Page 30 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum